Allez voir chez Corto la vidéo que nous ont concoctée Pépère et sa bande de pignoufs indécrottables. Vous y verrez le scandaleux happening qu’ils ont osé organiser dans un cimetière.
Un cimetière où sont enterrés les restes de cent trente mille soldats inconnus, français et allemands.
Les Français commencent à être habitués aux exploits médiatiques de leur président. Les Allemands sans doute moins. Il suffit de voir la tête que fait la chancelière qui n’applaudit qu’avec un temps de retard, étonnée qu’en plus on applaudisse devant des tombes.
Et pour couronner le tout, dans son discours, notre bafouilleur national a confondu Verdun et Berlin! « Nous tenions, Angela Merkel et moi-même, à venir à l’hôtel de ville de Berlin … »
Amis allemands pardonnez-nous! Espérons qu’aux prochaines élections nous vous débarrasserons de François Hollande. Du moins nous essaierons. Promis!
Pangloss encore lui! 
Je ne suis pas maso : je n’irai pas voir…
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Vous vous évitez un début de nausée.
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Ah, mais il n’y en a pas que pour les yeux ! Les oreilles aussi…
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Cent trente mille morts pour arriver à ca!
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Je suis allé voir la vidéo. Grotesque.
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Révoltant.
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Grotesque, révoltant, nausée…les mots finiront parr manquer avant la fin de ce quinquenat
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Il va falloir puiser dans le dictionnaire des synonymes.
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Le spectacle a été mis en scène par un allemand et a été très certainement mis au point par des délégations des deux nations. Bref, votre commentaire est simplement débile.
Vos amis allemands vous méprisent comme les français d’ailleurs.
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Nous ne devons pas avoir les mêmes amis allemands.
Bonne journée à vous aussi.
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un seul truc chouette dans cette ceremonie, le nom du village « Con sans voix » j’espère que c’est premonitoire !
je ne sais pas si les morts auraient aimé cette chose du temps de leur vivant …vivement une ceremonie ou je veux bien participer , une tournée de pieds au cul aux élites gouvernantes …
vale!
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Je pense à mes grands-pères et je me sens insulté pour eux.
Vale!
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Je suis ulcérée aussi.
Et je croise les doigts pour 2017.
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Je serai content que la clique de Pépère dégage. Mais qu’aurons-nous à la place?
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