Incompréhensible
Soyons logique, si les métros construisent en Corse, c’est pour s’affranchir du voisinage qu’ils s’imposent sur le continent
Or, ils militent pour importer et imposer ce voisinage
Très courte vue. Je me répète: bientôt des problèmes d’eau. La Corse est une île, elle ne peut aller chercher de l’eau dans la Seine, ou dans les nappes phréatiques du continent.
Le cauchemar se prépare. Dans le cap Corse, par manque d’eau (déjà! et nous ne sommes qu’en avril) on envisage l’installation d’une unité de dessalement.
Qui dit permis de construire, dit terrains. Une île n’étant pas extensible, ce sont donc les propriétaires (corses) qui vendent leurs terrains et les élus (corses) qui les rendent constructibles. Rappelons que le permis de construire est délivré par le … maire.
Les propriétaires (et pas seulement en Corse) ne résistent pas à la tentation de toucher le jackpot en vendant un terrain constructible. Les maires (comme partout) veulent des administrés et des contribuables pour augmenter la somme des impôts locaux … et être réélus.
Sans nier les particularités et les difficultés de la Corse que je devine plus que je ne les connais réellement (son insularité et son isolement-sauf pour les résidents secondaires-… , son relief montagneux accidenté -sauf pour les randonneurs…-, son climat chaud et sec difficile -sauf pour les touristes juilletistes ou aoutiens-…, etc…), il serait bon de savoir d’où on part :
Par exemple, quel est le rapport entre la surface totale des terres « constructibles » viabilisables et celle des terrains déjà bâtis (traditionnel ou contemporain)….ou la surface des terrains « définitivement (!?) » inconstructibles (patrimoine naturel, historique, religieux ou artistique), etc…
Si certaines régions, comme la Bretagne ou l’Île-de-France par exemple, ont une évolution « négative », c’est peut-être parce qu’il ne reste plus de terrains disponibles pour la construction , un certain seuil d’alerte étant déjà atteint…
Je répète qu’il faut évidemment tenir compte des particularités que j’ai énoncées plus haut et qui n’entraient pas en ligne de compte en Normandie ou dans le Val-de-Loire.
Les élus (certains d’entre eux au moins) militent pour rendre constructibles des terre agricoles en bord de mer. Il y a du pognon à se faire. Il y a des espaces protégés mais insuffisamment. Et les constructions de « résidences secondaires » se multiplient très souvent des maisons de vacances occupées un mois par an par les propriétaires et louées à des vacanciers pendant la saison par des RB&B. Sans aucun bénéfice pour la Corse car les loyers repartent sur le continent.
Peut-être colère des uns mais sans doute satisfaction des autres ?
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L’invasion des touristes et des résidents secondaires. Des restrictions d’eau sont à prévoir.
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Incompréhensible
Soyons logique, si les métros construisent en Corse, c’est pour s’affranchir du voisinage qu’ils s’imposent sur le continent
Or, ils militent pour importer et imposer ce voisinage
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Très courte vue. Je me répète: bientôt des problèmes d’eau. La Corse est une île, elle ne peut aller chercher de l’eau dans la Seine, ou dans les nappes phréatiques du continent.
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C’est Veolia qui a la solution à votre problème d’eau. Il suffit d’avoir l’idée de le lui demander :
https://www.veolia.com/fr/solution/dessalement-eau-mer-eau-potable
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Le cauchemar se prépare. Dans le cap Corse, par manque d’eau (déjà! et nous ne sommes qu’en avril) on envisage l’installation d’une unité de dessalement.
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Qui dit permis de construire, dit terrains. Une île n’étant pas extensible, ce sont donc les propriétaires (corses) qui vendent leurs terrains et les élus (corses) qui les rendent constructibles. Rappelons que le permis de construire est délivré par le … maire.
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Les propriétaires (et pas seulement en Corse) ne résistent pas à la tentation de toucher le jackpot en vendant un terrain constructible. Les maires (comme partout) veulent des administrés et des contribuables pour augmenter la somme des impôts locaux … et être réélus.
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Voilà. Les métropolitains ne font que répondre à l’offre. Les responsables sont les propriétaires locaux.
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Déséquilibre entre les revenus des continentaux qui peuvent se payer une maison de vacances et des locaux qui ne peuvent se loger à l’année.
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Sans nier les particularités et les difficultés de la Corse que je devine plus que je ne les connais réellement (son insularité et son isolement-sauf pour les résidents secondaires-… , son relief montagneux accidenté -sauf pour les randonneurs…-, son climat chaud et sec difficile -sauf pour les touristes juilletistes ou aoutiens-…, etc…), il serait bon de savoir d’où on part :
Par exemple, quel est le rapport entre la surface totale des terres « constructibles » viabilisables et celle des terrains déjà bâtis (traditionnel ou contemporain)….ou la surface des terrains « définitivement (!?) » inconstructibles (patrimoine naturel, historique, religieux ou artistique), etc…
Si certaines régions, comme la Bretagne ou l’Île-de-France par exemple, ont une évolution « négative », c’est peut-être parce qu’il ne reste plus de terrains disponibles pour la construction , un certain seuil d’alerte étant déjà atteint…
Je répète qu’il faut évidemment tenir compte des particularités que j’ai énoncées plus haut et qui n’entraient pas en ligne de compte en Normandie ou dans le Val-de-Loire.
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Les élus (certains d’entre eux au moins) militent pour rendre constructibles des terre agricoles en bord de mer. Il y a du pognon à se faire. Il y a des espaces protégés mais insuffisamment. Et les constructions de « résidences secondaires » se multiplient très souvent des maisons de vacances occupées un mois par an par les propriétaires et louées à des vacanciers pendant la saison par des RB&B. Sans aucun bénéfice pour la Corse car les loyers repartent sur le continent.
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